Services
Nous réalisons des articles, reportages, podcasts, etc. pour les médias des marques elles-mêmes: blogs, réseaux sociaux, journal « papier », etc. Nous proposons aussi des publi-reportages « classiques » dans des médias « papier ». Nous proposons également des contenus pour des médias internes.
Rédaction
Qu’il s’agisse d’écrire pour votre site, votre magazine, ou bien de rédiger communiqués et dossiers de presse, notre équipe composée de journalistes vous apporte son expertise et ses compétences.
Podcasts
Le format est devenu incontournable pour être informé en restant mobile. De la rédaction à l’habillage sonore, nous prenons tout en charge pour créer des contenus audio qui vous ressemblent.
Photographie
Pour mettre en avant vos produits ou votre équipe, rien de tel que des photographies professionnelles, adaptées à l’ensemble de vos supports de communication.
Animation de débats
Vous souhaitez organiser une conférence, un débat ou une table ronde ? Nous proposons d’en assurer l’animation pour mettre en avant la parole de chaque intervenant.
Iconographie
Trouver les bonnes images pour illustrer un article peut parfois être un vrai casse-tête. En plus de rédiger vos contenus, nous proposons aussi de prendre en charge leur iconographie.

Formation
Mieux communiquer est un apprentissage. C’est pourquoi nous réalisons des formations « media training et prise de parole en public ». Notre organisme est reconnu par Datadock.
Vidéo et Motion design
Pour votre site et vos réseaux sociaux, nous pouvons produire contenus animés, compte-rendus d’événements, présentations et interviews vidéo.
À PROPOS
Comprendre notre activité
La « communication éditoriale », qu'est-ce que c'est ?
La « communication éditoriale » est très ancienne, puisqu’elle existe depuis longtemps dans les médias traditionnels sous la forme de publi-reportages. Elle évolue cependant rapidement ces dernières années, en particulier grâce aux moyens offerts par les médias numériques. Il s’agit d’utiliser la forme du journalisme traditionnel -dossiers, articles, podcasts interviews, etc.- dans le cadre de la communication. C’est une manière de répondre à un besoin croissant exprimé par les marques: ne plus se contenter de slogans, de communication basique, mais expliquer, intéresser, apporter une véritable information à des consommateurs qui en sont en demande. Une marque va ainsi, par exemple, créer un site qui parlera de son domaine sans forcément se mettre directement en avant. Son but étant d’attirer des lecteurs sur son site, pour qu’ils y restent ensuite. Il faut donc un savoir-faire de journalistes pour réussir à communiquer de cette manière, et c’est ce savoir-faire que nous apportons.
Pourquoi faire appel à nous ?
Nous sommes une petite agence capable de fournir des contenus de qualité en grand nombre très rapidement. Nous sommes à votre écoute, que vous soyez une agence ou une marque, une petite ou une grande entreprise, pour personnaliser votre communication et offrir surtout un niveau de rédaction véritablement professionnel. Avec nous, pas de discours bricolé et creux, mais un savoir-faire journalistique fort de 15 ans d’expérience. Nous ne vous proposerons donc pas de contenus au kilo que nous déléguerons à un euro le feuillet dans des pays émergents. Avec nous, chacun de vos contenus est unique et correspond surtout à vos attentes. Tant que vous n’êtes pas satisfait, nous ne le sommes pas non plus.
NOS dernières rÉALISATIONS
Quelques projets réalisés ces dernières années


Projet
En mai 2020, nous avons pris en charge la communication du restaurant – cave à vins Garopapilles, à l’occasion de sa réouverture.
Réalisations
Pour annoncer la réouverture du restaurant et renseigner la clientèle sur le changement de concept du lieu, nous avons:
– accompagné Garopapilles dans la réflexion autour de sa nouvelle communication
– réalisé une refonte du site internet de Garopapilles
– réalisé une interview vidéo du chef à destination du site et des réseaux sociaux
– alimenté ces réseaux
– photographié le lieu et l’équipe
– rédigé un communiqué de presse.
Aperçu
Crédit photo : Magali Maricot
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2020, Photos, Rédaction, Vidéo
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Article paru dans le magazine Instants, de Relais & Châteaux.
Un pont entre le passé et le présent : voilà, sans doute, la première impression qui s’impose aux visiteurs de l’hôtel Burg-Schwarzenstein, à une soixantaine de kilomètres de Francfort en Allemagne.
Mélange entre demeure chargée d’Histoire et rénovations modernes, l’hôtel Burg-Schwarzenstein, à Geisenheim en Allemagne, se distingue autant par son élégance que par la chaleur qui s’en dégage. Surplombant les vignes, le luxueux édifice allie une double élégance : celle, traditionnelle, d’un château construit pour la famille Mumm en 1854 et celle, moderniste, de bâtiments érigés à la fin des années 2000. Le tout se lie sans heurt, grâce à une pierre beige qui permet une continuité. L’hôtel impressionne sans intimider, car dès le hall, vaste et lumineux, de profonds canapés soulignent l’attention portée au confort. « J’ai beaucoup voyagé, et j’ai souvent eu l’impression d’arriver dans des endroits très modernes mais froids, où je ne me sentais pas vraiment la bienvenue », commence Stéphanie Teigelkamp, ancienne hôtesse de l’air qui aujourd’hui dirige l’hôtel avec son mari Michael. « Nous avons donc voulu que cet endroit soit sublimé par les ajouts et les rénovations, mais tout en restant chaleureux, accessible. Que l’on puisse s’y sentir comme chez soi. »
De ses voyages, Stéphanie a aussi rapporté de nombreuses idées pour la décoration, qui apportent une touche d’exotisme raffiné dans les parties communes comme dans les vastes chambres et dans les suites. Elles aussi combinent influence moderne et recherche de chaleur, parfois même au sens propre. « Nous avons multiplié les terrasses pour permettre à nos hôtes de profiter des rayons du soleil dès qu’ils le peuvent, une coupe de champagne à la main », sourit Stéphanie. Les vastes baies vitrées s’invitent jusque dans les salles de bain, où les baignoires à jets bouillonnants permettent de se délasser en ayant l’impression d’être dehors. La lumière, élément essentiel, n’est presque jamais coupée par d’inamovibles cloisons : les maîtres des lieux ont voulu installer, partout où c’était possible, des panneaux coulissants, accentuant l’impression d’espace et de continuité. Sans rien céder sur l’aspect chaleureux : partout, des recoins cosy, des assises douillettes viennent inviter au repos et à la détente.
Le luxe sans ostentation, pensé pour le bien-être, c’est un état d’esprit que l’on retrouve aussi dans les trois restaurants de l’hôtel. L’un deux, le Schwarzenstein, possède deux étoiles au Guide Michelin. « Je définirais ma cuisine comme naturelle, car ma priorité c’est vraiment de travailler avec des produits locaux et de saison », explique le chef, Nils Henkel. « Ce qui ne m’empêche pas de faire des clins d’œil à d’autres cuisines, en utilisant notamment des épices du monde entier. Mais la base, c’est celle-là », insiste-t-il. Particularité de sa carte, l’un des deux menus est entièrement végétarien. « Au-delà de l’envie de satisfaire ceux qui suivent ce régime, je souhaite aussi donner à penser sur la manière dont on consomme de la viande, du poisson, sur leur provenance et la manière dont ils sont produits. » « Faune » ou « flore », quel que soit le choix du menu, une certitude dans les deux cas : celle de passer un moment d’exception dans un lieu d’exception…
Texte : Jean Berthelot de la Glétais
Photos : Magali Maricot
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2019, Photos, Rédaction
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Le 14 novembre, nous étions au Festival Fake News – Projections, ateliers et animations.
Au long de cette journée, Jean a eu la chance de rencontrer les publics scolaires, et d’animer plusieurs ateliers autour du métier de journaliste et de la situation actuelle de l’information. En début de soirée, il a également coordonné le débat autour des Fake News et de l’écologie, pour poser des questions aux intervenants et tendre le micro au public.
Images : Gabriel Taïeb
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2019, Animation, Vidéo
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Le 7 novembre, le Club de la Presse de Bordeaux, soutenu par Ijba Bordeaux, Rue89 Bordeaux et le Réseau éducation sans frontières 33, organisait une rencontre avec Marcel Tolno et Urmondzhon Sufiev. Ces deux journalistes, respectivement Guinéen et Tadjik, sont en danger dans leur pays mais la France leur refuse un asile durable. Lors de cette soirée, chacun d’eux a pu évoquer son parcours, son travail de journaliste, son quotidien en France, sa situation actuelle et ses projets.
En tant que président du Club de la Presse de Bordeaux, Jean a eu l’honneur d’animer cette rencontre.
Images : Gabriel Taïeb
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2019, Animation, Vidéo
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Article paru dans Sud Ouest, le 7 novembre 2019. Photo Shutterstock
Le moment où l’on part à la retraite est, pour chacun, une étape clef de la vie. Qui n’a plus rien à voir avec ce que les générations précédentes ont connu : désormais, on cesse une activité professionnelle en ayant souvent, devant soi, de longues années à vivre en bonne santé. C’est aussi un moment où l’on se pose beaucoup de questions, que l’on s’y soit préparé ou non. Déjà présent tout au long de la vie active, le Crédit Agricole Aquitaine est également toujours là pour accompagner la retraite de ses clients. Grâce à des conseillers qui connaissent le territoire géographique, qui sont des interlocuteurs attentifs à la situation de chacun, il est donc possible d’être appuyé d’un point de vue financier, bien sûr, tout comme dans ses projets, et même dans l’appréhension d’une vie sociale qui n’est plus la même mais peut – et doit – rester intense. Les équipes du Crédit Agricole Aquitaine sont ainsi des tiers de confiance, vers qui l’on peut se tourner à divers titres. Il y a naturellement des solutions bancaires, telles que des assurances-santé, des produits de prévention santé ou de transmission, des assurances-vie notamment. Les questions peuvent aussi avoir trait à la monétarisation du patrimoine, si, par exemple, il est nécessaire de quitter un logement que l’on possède pour aller vers un Ehpad ou une maison de retraite.
> À l’écoute des retraités
Aujourd’hui les retraités veulent pouvoir accomplir ce qu’ils n’ont pas pris le temps de faire lors de leur vie active.
Contrairement à ce que l’on pense généralement, le recours au crédit pour le financement des projets reste une prérogative à laquelle les retraités peuvent prétendre. Les équipes du Crédit Agricole Aquitaine sauront les accompagner et les conseiller. Le Crédit Agricole Aquitaine va aussi plus loin en organisant des ateliers avec ses clients, durant lesquels ces derniers peuvent exprimer leurs attentes sur bien des sujets. Il en est ressorti, jusqu’ici, diverses priorités : parmi celles-ci, le besoin de renforcer le lien social.
> Améliorer le quotidien
Pour répondre à ce besoin exprimé par ses clients, le Crédit Agricole Aquitaine a développé un partenariat avec Sunday, une start-up du Village by CA, qui démocratise et simplifie la technologie pour permettre à la famille d’envoyer directement ses photos sur l’écran de télévision de ses grands-parents (voir podcast). Et parce que bien vivre sa retraite implique pour certains de bien vivre à domicile, le conseiller bancaire, en tant que tiers de confiance, peut également créer du lien avec ses clients professionnels pour les accompagner dans leurs choix d’équipement et leur permettre de se concentrer sur l’essentiel : eux, leurs proches et le plaisir de profiter de la vie.
En Nouvelle-Aquitaine
29 % des habitants ont 60 ans ou plus (contre 25 % au niveau national)
95 % des seniors vivent à domicile
2050 : On comptera 900 000 seniors de plus d’ici à 2050
2 : Il y aura deux seniors pour un jeune de moins de 20 ans à l’horizon 2050
Source : Insee
Jean Berthelot de la Glétais
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2019, Rédaction
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SEMAINE DE LA FINANCE SOLIDAIRE, MODE D’EMPLOI
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2019, Rédaction
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Présentation et animation de la rentrée solennelle de l’Université de Bordeaux, le 17 septembre 2019.
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2019, Animation
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Article paru dans Sud Ouest, le 30 octobre 2019
Partenaire officiel de la cinquième édition du Marathon de Bordeaux, la « première mutuelle du Grand Sud Ouest » s’affiche aux côtés des sportifs. Retour sur cette collaboration dynamique.
Ils étaient plus de 17 000 à s’inscrire aux différentes épreuves du Ociane Matmut Marathon de Bordeaux samedi dernier. Aujourd’hui, les sportifs peuvent se féliciter de leurs efforts et prendre un repos bien mérité. Mais pour le premier partenaire de l’événement, la course ne fait que commencer. Présente dans la métropole bordelaise pour soutenir l’événement, l’administratrice Matmut et ancienne Ministre des Sports Valérie Fourneyron détaille le projet à long terme du groupe : « Ce partenariat s’inscrit pour nous dans une double logique. Tout d’abord, faciliter le développement de la pratique sportive pour tous, mais aussi de lutter contre les méfaits de la sédentarité ». Aussi médecin, la représentante de l’assureur rappelle par ailleurs que l’inactivité physique
constitue la première cause de mortalité évitable. Également présent, Stéphane Hasselot, directeur général adjoint du groupe Matmut en charge de l’assurance santé, retrace les débuts de la collaboration. « La Matmut a souhaité intensifier sa présence autour du sport et de ses valeurs. Nous sommes basés à Bordeaux, donc soutenir l’événement nous semblait être une évidence. Après le naming du nouveau stade, c’est une nouvelle étape qui s’inscrit dans la multiplication de nos opérations. »
Pour un événement réussi
Réunis pour célébrer l’ouverture du village de l’événement, les organisateurs sont restés enthousiastes, malgré un contexte compliqué pour la tenue du marathon. « Nous sommes aujourd’hui très fiers, en tant qu’organisateurs, de poursuivre cette mission de service public qu’est ‘‘le sport pour tous’’. Le Marathon de Bordeaux, c’est avant tout du sport et une fête », s’est réjoui Laurent Baudinet, président du Stade Bordelais. Un sentiment partagé par Patrick Bobet, président de Bordeaux Métropole, qui soutient « de tout cœur la tenue d’un si bel événement ». Pour Yves Cordier, opérateur de la manifestation et
directeur d’IRONMAN France, l’engagement de chaque acteur dans l’organisation a été primordial pour faire de ce marathon « une édition unique, qui donnera une vision très positive de l’événement pour les années à venir ». Chaque intervenant à notamment souhaité remercier Ociane Matmut pour sa présence en tant que partenaire officiel, et ses actions en faveur d’une pratique sportive accessible à tous.
L’ADN de l’assureur
« Nous accompagnons nos adhérents sur la reprise de l’activité sportive, via un service de coaching en ligne. Nous suivons de près la réglementation du sport sur ordonnance. Nous avons des garanties qui couvrent la pratique sportive amateure. Tout cela fait partie de notre identité d’assureur », détaille Stéphane Hasselot. Le directeur général adjoint, lui-même sportif, souhaite faire de la promotion de l’activité physique une priorité de son groupe. Une évidence pour Valérie Fourneyron. « Si je suis présente aujourd’hui, c’est bien entendu parce qu’Ociane Matmut est partenaire. Mais je porte depuis longtemps, dans toutes mes responsabilités, le même cap autour du sport comme outil de santé publique. Être dans un groupe assureur où la dimension sport-santé est si forte, c’était pour moi une opportunité ». Pour les deux responsables, une mutuelle doit avant tout être un organisme de protection de santé, qui met en place des actions concrètes pour le bien-être de ses adhérents au quotidien.
Rester solidaires
Questionnés sur la valeur sportive à laquelle ils accordent le plus d’importance, les représentants d’Ociane Matmut n’hésitent pas un seul instant. « La solidarité. C’est ce qui compose l’identité des mutualistes. Et quand vous observez un événement tel que le Marathon de Bordeaux, vous voyez bien que c’est ce qui prime. Les gens s’entraident, s’encouragent, il ne s’agit pas de compétition ici. Chacun fait vivre cette valeur, et c’est très prégnant dans notre histoire, comme dans ce partenariat ». Les salariés du groupe assureur sont d’ailleurs régulièrement invités à s’inscrire aux compétitions sportives nationales, ou a venir soutenir leurs collègues dans ces épreuves, soulève Stéphane Hasselot. Avant de conclure en remerciant tous les bénévoles qui ont permettent la réalisation de ces courses « à Bordeaux, comme ailleurs ».
Texte et photos : Gabriel Taïeb
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2019, Rédaction
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« Énormément de demandes »
Huit grandes entreprises sur dix convaincues
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2019, Rédaction
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LOA : Priorité à l’investissement
LLD : Des coûts lissés à long terme
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2019, Rédaction
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2019, Rédaction
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2019, Rédaction
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Article paru dans Sud Ouest, le 15 octobre 2019
Installée depuis 35 ans à Pessac, l’une des plus vieilles entreprises d’espaces verts de la commune encore en activité célèbre son anniversaire. Son fondateur, Laurent Desplat, se confie sur son métier et ses évolutions.
Les habitants de longue date de Pessac le connaissent bien, et pour cause : cela fait plus d’une trentaine d’années que Laurent Desplat exerce son activité de paysagiste dans la commune et ses alentours. Depuis octobre 1984, son entreprise Chrono-Jardin intervient chez les professionnels, les particuliers et dans les résidences pour l’entretien des espaces verts. Toujours actif, l’entrepreneur souhaite profiter de cet anniversaire pour partager son expérience.
Un métier varié
« Il y a parfois des confusions sur le métier de paysagiste, parce que c’est très vaste. Le travail de base concerne l’entretien de jardin, avec les tontes, les tailles d’arbustes, les ratissages, le désherbage, etc. Mais l’activité comprend aussi la création de jardins, qui peut avoir des aspects très divers », détaille Laurent Desplat. Selon lui, il est très difficile pour quelqu’un de maîtriser toutes les palettes de la profession. L’élagage représentant près de 50 % du chiffre d’affaires de Chrono-Jardin, pour des clients à 70 % pessacais, il est courant que l’entreprise fasse appel à d’autres intervenants sur des chantiers très
spécialisés. Actuellement, la SARL emploie un salarié, Mathieu, qui travaille pour la structure depuis plus de 10ans. « Autrefois, j’ai pu avoir plusieurs employés, ainsi que des apprentis. Chacun a apporté sa pierre. Mais le milieu évolue et certaines contraintes nous obligent à nous recentrer sur ce que nous faisons le mieux » constate le chef d’entreprise.
Une évolution constante
Si les modes ont fortement influencé l’activité des paysagistes, notamment dans le choix de la végétation pour la création de jardins, elles ne sont pas seules à avoir eu un impact important. « Je travaille sur des communes qui construisent de moins en moins d’espaces verts privés. Les terrains sont de plus en plus petits, et les jardins sont la dernière priorité dans l’ordre de construction. Donc la création tend à disparaître. » Les contraintes environnementales, de même que les changements des législations et des mentalités, ont également demandé une adaptation du métier. Là où les clients particuliers désiraient des plantes méditerranéennes, ils préfèrent aujourd’hui de petits potagers, des arbres fruitiers et une végétation locale. De même, la tonte intensive et le désherbage chimique des allées ne sont plus à l’ordre du jour. « Nous évoluons vers une pratique raisonnée. Nous laissons fleurir les pissenlits, voire les coquelicots. C’est difficile à faire rentrer dans les mœurs chez certains, mais l’évolution est là », ponctue Laurent Desplat.
Fidélité à sa clientèle
Très loin de vouloir raccrocher ses outils, le créateur de Chrono-Jardin tient à remercier tous les clients qui le suivent depuis des années. « Il est très touchant pour moi d’être appelé régulièrement. Mais il est d’autant plus touchant de recevoir des appels de personnes pour qui j’ai travaillé il y a 5, ou 8 ans. Parfois je suis même des familles sur plusieurs générations. Et bien sûr je veux remercier tous ceux qui ont travaillé pour moi durant toutes ces années. »
Texte et photos : Gabriel Taïeb
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2019, Photos, Rédaction
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Vidéo réalisée pour la ville de Bordeaux dans le cadre de la Semaine des droits des femmes.
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2019, Vidéo
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Vidéo réalisée pour Bordeaux Mag, sur l’association La Cloche de Bordeaux.
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2019, Vidéo
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Article paru dans le magazine Instants, de Relais & Châteaux.
« On en vit combien ? Trois ? Quatre, pour les plus chanceux ? Alors vous imaginez à quel point on l’attend impatiemment ? » À l’évocation de la Fête des Vignerons, l’émotion de Stéphane Décotterd est palpable, et d’autant plus à quelques jours du début de l’édition 2019, le 18 juillet. Le responsable du restaurant Le pont de Brent, à Vevey, n’exagère en rien le caractère historique de la manifestation qui vaut à la ville d’être désignée comme l’une des destinations incontournables par le prestigieux National Geographic. Car elle n’a lieu cinq fois par siècle, au maximum, et ce depuis sa création en 1797. Avec des intervalles pouvant varier de 14 à 28 ans ; la dernière s’est ainsi tenue en 1999.
Pour cette douzième édition, pas moins de 20 000 spectateurs sont attendus chaque jour au fil de 20 spectacles majeurs, « avec 5500 acteurs et figurants, dont 900 chanteurs », rappelle Stéphane Décotterd. Lequel est bien placé pour le savoir ; parmi les plus jeunes chanteurs, il y aura sa fille de 12 ans, qui répète depuis des mois pour que tout soit parfait le jour J. Théâtre, danse, musique, la plupart des arts scéniques seront représentés sous la houlette de Daniele Finzi Pasca. Le metteur en scène suisse est un habitué des œuvres pharaoniques : c’est à lui que l’on doit les cérémonies de clôture des Jeux olympiques de 2006 et 2014, respectivement à Turin et Sotchi.
Une « frénésie » annoncée
Tout comme le restaurant du Pont de Brent, le Grand Hôtel du Lac est partenaire de l’évènement. « Vingt ans d’attente, vous imaginez à quel point on espère que cette fête sera belle ? » sourit Luc Califano, directeur du Grand Hôtel. L’un proposera notamment des navettes spéciales pour les festivaliers, l’autre un service en continu l’après-midi. « C’est un partenariat d’évidence, la question ne se pose même pas. Tous les acteurs du territoire sont partie prenante de la Fête. C’est une part énorme de la culture locale, tous ceux qui sont assez âgés pour avoir vécu l’une des éditions précédentes s’en souviennent avec beaucoup d’émotion et en retiennent de nombreuses anecdotes. » « C’est un coup de projecteur incroyable pour Vevey, car la rareté et l’engouement populaire font que l’on vient de loin pour assister à un tel événement », reprend Stéphane Décotterd. « On nous parle souvent d’une Société individualiste, incapable de se mobiliser autour de belles valeurs ; là c’est le contraire, on fédère des milliers de personnes de toutes générations autour d’un projet festif », s’enthousiasme-t-il.
L’occasion est belle, en effet, de découvrir « le centre du monde ! Une ville au carrefour de l’Europe, à une heure de Berne, de Gstaad et de la frontière italienne, au panorama grandiose » pour Luc Califano, et « un lieu où la montagne rencontre un lac qui est presque une petite mer, au patrimoine distingué par l’UNESCO », rappelle Stéphane Décotterd. Une petite cité de 20 000 habitants, prisée de Charlie Chaplin, notamment, et qui chaque soir durant la Fête des vignerons voit doubler sa population, prête à vivre avec « frénésie » (dixit Stéphane Décotterd), un événement qu’elle attend depuis 20 ans. Et dont elle devrait se souvenir avec émoi durant deux décennies au moins…
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2019, Rédaction
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Article paru dans le magazine Instants, de Relais & Châteaux.
C’est une dame blanche coquette qui pose en retrait, paisible, comme à l’abri du vent et du fracas du monde. Devant elle, le lac marin, une petite plage, les pins. Le décor est immuable, ou presque, il pourrait évoquer les Hamptons, par exemple, ces lieux où l’on prend le temps de respirer, de s’épanouir, d’admirer une nature qui n’est jamais tout à fait la même. Ce sont les Hamptons, justement, cette péninsule au nord-est de New York, lieu de villégiature favori de l’establishment de la côte Est, qui sont aussi rappelés à l’intérieur des chambres, avec ce bois blanc, ces terrasses et balcons permettant de profiter au mieux de la vue sur le lac. Mais c’est bien au cœur des Landes que les Hortensias se sont posés il y a presque un siècle. Le style architectural de la demeure, du reste, ne laisse que peu de place au doute : du basco-landais dans toute sa splendeur, celui-là même qui a fait la réputation d’Hossegor.
Sérénité éternelle
L’hôtel est d’ailleurs indissociable de l’histoire de la station balnéaire : apparu dans les années 30, il a accompagné son développement et notamment l’essor de son sport emblématique, le surf. Le hobby préféré des rois hawaiiens garde une bonne place à l’intérieur des murs, par touches discrètes et raffinées mais bien présentes ; c’est même la ligne directrice qui a guidé l’esprit de la rénovation. Celle-ci a duré huit mois, avant la réouverture de l’hôtel au tout début de l’été. Une renaissance, presque, qui porte le sceau de Frédéric Biousse et Guillaume Foucher, propriétaires de la collection Les Domaines de Fontenille*. Ils ont ainsi repris les Hortensias, désireux de leur redonner leur grandeur passée, et placé leur confiance en leur gérant, Arnaud Séhébiade. À la fois chic et décontracté, le surf lodge de luxe fait la part belle à l’Art Déco, son style emblématique auquel s’intègrent avec délicatesse une piscine chauffée, comme posée en apesanteur au-dessus du lac, et un spa de 450 m 2. On peut donc s’y délasser après, pourquoi pas, une escapade sportive : surf, bien sûr, mais aussi paddle, planche à voile, promenades, course à pied, les Hortensias sont le paradis de ceux qui aiment se dépenser à leur rythme.
Simplicité et fraîcheur
Un restaurant de 50 couverts complète la carte postale : dirigé par le chef Philippe Moreno, formé auprès de Gérald Passedat, trois étoiles au Michelin, il invite les produits locaux, ceux issus de la pêche notamment, dans les assiettes. Entièrement vitré pour la partie intérieure, il offre une vue splendide sur le lac et une terrasse permettant de profiter du soleil. En parfaite cohérence avec la philosophie des lieux ; simplicité, fraîcheur, authenticité. Car l’essentiel est dans ces eaux aux pieds de la dame blanche, dans les pins, dans l’océan si proche, dans cette nature qui affleure et que l’hôtel met si bien en valeur. On y vient pour profiter de soi, des siens, pour être dans son époque et bercé par l’atmosphère d’une maison immuablement alanguie, au bord d’un lac. Sereine.
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2019, Photos, Rédaction
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Le 14 octobre, le BOCAL (Bureaux Occupés Cours Alsace Lorraine) fermait ses portes. Lors de cette soirée de clôture, Aquitanis, Nexity, Plateau Urbain et les anciens occupants des lieux étaient présents pour revenir sur cette expérience temporaire. Pour animer le débat « À quels besoins l’occupation temporaire de lieux vacants répond-elle sur le territoire de la métropole ? Comment prolonger cette expérience dans de nouveaux lieux ? », les organisateurs de l’événement ont fait appel à notre agence.
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2019, Animation
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2019, Rédaction
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2019, Rédaction
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Article paru dans le Journal du Dimanche, le 24 mars 2019
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2019, Rédaction
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Dossier paru le 11 novembre 2018 dans le Journal du Dimanche.
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2018, Rédaction
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Dossier paru le 4 novembre 2018 dans le Journal du Dimanche.
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2018, Rédaction
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2018, Rédaction
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Que vous soyez conducteur quotidien ou plus ponctuel, il est toujours possible de réduire votre empreinte en optant pour un véhicule « propre ».
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2018, Rédaction
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2018, Rédaction
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2018, Rédaction
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Article paru dans le Journal du Dimanche, le 30 septembre 2018
« Tous les acteurs historiques ont intérêt à se tourner vers la finance responsable »Sandy Campart
Comment s’investir ?
La finance responsable est un terme assez vaste, au sujet duquel on s’accorde généralement pour dire qu’il recouvre des pratiques visant une rentabilité en même temps qu’un impact environnemental, social ou sociétal, et même les trois à la fois si possible. pour y parvenir, institutionnels, particuliers, professionnels peuvent s’appuyer sur trois leviers.
L’investissement socialement responsable (ISR)
La finance solidaire
Le financement participatif
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2018, Rédaction
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2018, Rédaction
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2018, Rédaction
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2018, Rédaction
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NOS CLIENTS | leurs agences

QUI SOMMES-NOUS ?
Les Mots de mai est une agence de communication journalistique. Elle existe depuis juillet 2012 et a changé de statut en 2015, devenant une SARL. Elle a été fondée par Jean Berthelot de La Glétais, journaliste indépendant, et emploie à la mission des spécialistes de la photo, de l’iconographie, des journalistes et des rédacteurs. Nos intervenants les plus réguliers:

Jean Berthelot de La Glétais
Journaliste indépendant depuis 2001, Jean Berthelot de La Glétais a étudié à l’IJBA, l’école de journalisme de Bordeaux, où il est désormais intervenant. Il est pigiste permanent pour la presse nationale, dont les radios Europe 1 et Radio Classique, l’hebdomadaire Grazia ou les trimestriels Sang-Froid et l’Ame des Lieux. Il travaille aussi pour la presse régionale, dont le quotidien Le Courrier de l’Ouest et l’hebdomadaire Sud-Ouest Mag, ainsi que pour le Journal des Entreprises, l’Usine Nouvelle et les sites Actualité de la Formation et Revue Far Ouest. Jean Berthelot de La Glétais est également rédacteur en communication éditoriale depuis 2008. Il donne aussi régulièrement des formations de prise de parole en public et de sensibilisation aux médias. Depuis février 2019, il est président du Club de la Presse de Bordeaux.

Magali Maricot
Magali Maricot est photographe et iconographe. Formée à l’école des Gobelins, à Paris, Magali Maricot a commencé sa carrière auprès de Gérard Vandystadt, lauréat du prix World Press Photo en 1990. Passée ensuite par L’Équipe, France Football, Rugby Hebdo, Aujourd’hui Sport, Magali a aiguisé son œil à l’exigeante école de la photo de sport. Elle a ensuite travaillé pour le quotidien France-Soir puis pour l’hebdomadaire féminin Grazia. Désormais photographe indépendante, Magali a collaboré avec le trimestriel Sang-Froid, ainsi que l’hebdomadaire Vraiment, et travaille aujourd’hui régulièrement avec le site Revue Far Ouest, le groupe Sud Ouest pour Le Mag et Gourmand, Bordeaux Mag et Phosphore. En septembre 2019, elle exposait sa série « Abandonée » à la Biennale d’Art Contemporain d’Issy-les-Moulineaux. Elle est aussi iconographe pour l’illustration d’articles de communication éditoriale depuis 2012.

Gabriel Taïeb
Formé à l’Université Bordeaux Montaigne en Sciences de l’Information et de la Communication, Gabriel Taïeb est un jeune rédacteur multimédia. Aussi journaliste pigiste et motion-designer 2D, il a pu travailler pour des rédactions comme Revue Far Ouest, Objectif Méditerranée, IT Shaker, Radio Campus Bordeaux ou le Journal du Dimanche. Il anime aussi ponctuellement des ateliers de prise de parole en public. Depuis 2020, il siège au CA du Club de la Presse de Bordeaux en tant que représentant des Acteurs de l’Information.

Marion Ruaud
Formée au CUEJ, l’école de journalisme de Strasbourg, Marion Ruaud a travaillé en tant que JRI à BFMTV pendant 5 ans. Elle a beaucoup voyagé, en France et à l’étranger, l’oeil vissé derrière la caméra. Du terrain, toujours du terrain et encore du terrain ! Aujourd’hui, constamment à l’affût des évolutions de son métier, Marion a adopté l’iPhone comme nouveau moyen de tournage (et parfois de montage) pour des vidéos comme celles-ci. La voilà lancée dans l’aventure MoJo (Mobile Journalism) ! Journaliste et rédactrice indépendante, elle enseigne aussi la vidéo mobile aux étudiants de l’IJBA, l’école de journalisme de Bordeaux, ainsi qu’à des journalistes confirmés.